Le Pocket Painting

La résidence de territoire des ronds dans l’eau s’inscrit dans la lignée du projet PocketPaintingProject.

 

La force du pocket painting est de pouvoir être utilisé par tou.te.s, avec ou sans expertise artistique. C’est un média artistique qui traverse les divisions culturelles, générationnelles, nationales, linguistiques, sociales et économiques et permet de créer du lien et de la communication entre toutes sortes de personnes.

 

A l’origine, le pocket painting a été imaginé de deux artistes : Leslie Green et Duwanevue Johnson pendant le confinement, comme moyen de continuer à créer ensemble, malgré la distance et l’impossibilité de se voir physiquement. Elles ont alors réfléchi à une façon de s’envoyer leurs créations et de pouvoir les utiliser pour d’autres créations. Concrètement, un pocket painting est une peinture faire sur un disque de 10 cm de diamètre environ.

 

A l’instar des cartes Pokémon, les pocket painting peuvent se mettre dans la poche, être emportés partout, peuvent s’échanger, être envoyés par la poste, être pris en photo dans l’environnement local (il existe un hashtag #pocketpaintingproject sur instagram), ou encore être intégrés dans des vidéos ou des installations plus grandes (comme le globe de Leslie Green fait à partir de 1600 pocket paintings).

 

« Ça génère de l’audace »

            - Sylvie Vincent, professeur de français au collège